Au moins trois mois
Là, j’en avais enfin le droit. Je ne l’avais pas lorsque je n’étais que journaliste mais, député et homme politique, j’avais enfin le droit de donner à ces militants les conseils qu’ils me demandaient. « Pourrions-nous, s’interrogeaient-ils, faire comme les Iraniens lorsqu’ils criaient leur soif de liberté, de nuit, des fenêtres et des toits de leurs immeubles ? ».
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