Intervention en séance plénière dans le débat sur la situation humanitaire à Gaza, la nécessité de libérer les otages et d’instaurer une trêve humanitaire immédiate menant à un cessez-le-feu et perspectives de paix et de sécurité au Moyen-Orient

Dans nos 27 capitales, à Washington, et dans tous les pays de la Ligue arabe, on ne parle plus que d’eux : des deux Etats – israélien et palestinien.

Beaucoup ne veulent pas y croire mais la Palestine verra bien le jour aux côtés de l’Etat d’Israël pour la simple et bonne raison qu’il n’y a pas d’autre solution. « Mais qui expulsera, dit-on, les 500 000 colons ? ». Eh bien une minorité tentera une vaine résistance, la plupart rentrera en Israël et d’autres deviendront résidents étrangers dans ce nouvel Etat.

Le problème n’est pas là. Le vrai problème est que la Raison n’a plus assez de défenseurs ni d’un côté ni de l’autre et c’est pour cela que la Paix, une paix juste et pérenne, devra être imposée de l’extérieur comme le partage de 47 l’avait été par les Nations Unies.

Notre Union aura là un rôle fondamental à jouer et plutôt que de se disputer sur les mots, les trêves et le cessez-le-feu, notre Parlement doit d’ores et déjà pleinement s’y préparer.

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